Le fer est un oligo-élément, famille de minéraux nécessaire en petite quantité à certaines fonctions comme la fabrication d’enzymes ou d’hormones. Il est naturellement présent dans de nombreux aliments, mais sa forme varie en fonction des sources et des modes de préparation (en particulier la cuisson).
Les deux formes de fer alimentaires sont :
En faisant une moyenne entre l’apport de fer hémique et de fer non hémique, on considère que l’on absorbe environ 10% du fer alimentaire ingéré dans le cadre d’un régime omnivore, mais ce pourcentage peut être modifié par différents facteurs.
Chez un adulte, le corps contient environ 4 g de fer pour un homme et 2,5 pour une femme.
La vitamine C, le jus de citron et les produits carnés améliorent l’absorption du fer, en particulier pour le fer non hémique. Par contre, de nombreux facteurs peuvent perturber son assimilation :
De plus, les saignements chroniques comme les menstruations (surtout si elles sont importantes) peuvent provoquer une déperdition parfois importante du minéral.
Les besoins journaliers en fer peuvent donc varier de façon conséquente d’une personne à l’autre, en particulier pour :
Les carences en fer sont aisément mises en évidence par une prise de sang car c’est un des premiers critères recherchés.
Il contribue à la formation des globules rouges et au transport de l'oxygène.
Il contribue à réduire la fatigue et l’essoufflement ainsi qu’à améliorer le temps de récupération.
Le fer contribue à la formation des globules rouges. Il réduit la fatigue, facilite la récupération et favorise une meilleur gestion du stress
Le fer, comme tous les minéraux, se prend de préférence au moment des repas de façon à avoir la meilleure assimilation possible.
A prendre de préférence pendant le repas et éviter chez les personnes qui ont des troubles de l'accumulation du fer (hémochromatose).
Respecter les doses recommandées.
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