La choline contribue au maintien d’une fonction hépatique normale.
Elle aide à former les lécithines, des phospholipides naturellement présents dans les fruits secs et les oléagineux. La choline stimule le métabolisme des lipides et participe à limiter l’accumulation de triglycérides (lipides ou graisses) dans le foie, contribuant ainsi à la prévention des maladies cardiovasculaires.
Une supplémentation en choline, en tant que constituant majeur des gaines de myéline des cellules nerveuses, a montré des résultats prometteurs dans le traitement de certaines maladies neurodégénératives, souvent associées à un déficit d’acétylcholine dans le cerveau, dont la choline est l’un des précurseurs.
La choline joue un rôle déterminant dans le contrôle des muscles, de la mémoire et dans les fonctions cognitives du système nerveux central.
Une prise de 500 à 1 000 mg de choline par jour diminue la fréquence et l’intensité des crises d’asthme, selon les résultats de deux études cliniques menées en Inde publiés en 1997.
La choline est parfois proposée en traitement d’appoint des problèmes de digestion et de transit.
Un apport supplémentaire de choline est systématiquement prescrit aux femmes enceintes et allaitantes aux États-Unis. Ce n’est pas le cas en France.