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Parole d’expert pour passer un printemps plus serein en gérant mieux vos allergies !

Que l’on vive à la campagne ou en ville, difficile d’échapper au calendrier des pollinisations qui débute de plus en plus tôt. On recense 1 enfant sur 4 touché par une allergie respiratoire et près de 40% de la population mondiale serait déjà concerné par l’allergie en général (50% à horizon 2050 selon l’OMS), qu’elle soit respiratoire, cutanée ou alimentaire.  


S’il est difficile d’éradiquer définitivement, au sein de notre environnement, tous les agents responsables de ce phénomène, il est désormais possible de se préparer au mieux pour affronter cette période des pollinisations. Nous vous proposons ici de bien comprendre les mécanismes de l’allergie puis de faire le tour des précautions d’hygiène de vie et des approches naturelles qui vont vous permettre de mieux vous défendre et de passer ainsi un printemps et un été bien plus apaisé.  

I/Tout savoir sur les allergies

a/Qu’est-ce qu’une allergie et un allergène ? 

L’allergie est une réaction excessive de notre système immunitaire face à un agent extérieur normalement inoffensif, mais perçu dans ce cas-là comme « un agresseur ». Cet intrus porte alors le nom d’allergène. 


b/ Les principales allergies et leurs signes 

La réaction allergique a lieu là où se situe la rencontre avec l’allergène et peut se localiser sur 4 systèmes : respiratoire, digestif, cutané, ou parfois au niveau cardiovasculaire. 


Les allergies respiratoires : En France, environ 1 personnes sur 4 souffrirait d’allergies respiratoires. Pour la grande majorité, elles sont provoquées par les déjections d’acariens (poussières), les pollens ou encore les poils d’animaux . Elles peuvent se manifester par différents symptômes allant de la rhinite (rhume des foins), éternuement, larmoiement, nez qui pique, démangeaisons au niveau de la gorge et des yeux, conjonctivite, jusqu’à des formes plus graves telles que l’asthme allergique. 


Les allergies alimentaires : Elles concerneraient entre 3 et 10% de la population. Il convient toutefois de distinguer la vraie allergie alimentaire - déclenchée après ingestion immédiate de l’allergène entrainant selon les cas éruption cutanée (eczéma, urticaire), un œdème pharyngé de type œdème de Quincke , une rhinite allergique, de l’asthme ou encore des troubles cardiovasculaires (palpitations ou diminution du rythme cardiaque, diminution de la tension artérielle) - de l’intolérance au gluten ou au lactose par exemple dont les symptômes s’étalent dans la durée et peuvent être d’ordre : 


  •  gastro-intestinal (nausées, douleurs abdominales, diarrhée, ou alternance diarrhée et constipation),  
  • respiratoire (congestion nasale, excès de mucus, toux régulière), 
  • cutané (eczéma, peau sensible, dermatite).  


Les allergies cutanées : Elles peuvent être liées à l’exposition solaire provoquant alors des petites éruptions cutanées (plaques rouges, petites cloques, démangeaisons) sur le cou, le décolleté , les mains ou encore liées au contact avec certains matériaux qui entrainent des rougeurs, des démangeaisons ou des gonflements au niveau de la zone en contact avec l’objet allergisant, mais qui peuvent se généraliser à tout le corps. 

II/Pourquoi devenons nous de plus en plus allergiques ?

On recense 7 facteurs promoteurs :

L’âge enfant & l’hérédité  

L’allergie peut se manifester à tout âge, dès la naissance ou à l’âge adulte, mais est plus fréquente chez l’enfant. 
Un couple dont l’un des deux partenaires présente une allergie, a 50% de risque d’avoir un enfant allergique. Si les 2 parents sont allergiques, ce risque passe à 75%. 


Le réchauffement climatique et la pollution 

La hausse des températures provoque une floraison plus précoce et donc un allongement de la saison des pollens (ambroisie, bouleau…). Les radiations et UV seraient également des facteurs promoteurs de l’allergie. 
L’exposition à d’autres polluants 
Peintures, meubles (COV), produits ménagers chimiques irritants, nouvelles fibres textiles synthétiques, produits cosmétiques synthétiques avec des listes d’ingrédients très longue contiennent des polluants étrangers pour l’organisme.  


L’excès d’hygiène 

La prévalence de l’allergie alimentaire et respiratoire augmente avec le niveau de vie et est particulièrement présente dans les pays dits développés qui aseptisent de plus en plus leurs lieux collectifs et d’habitation. 


De nouvelles pratiques alimentaires 

Restauration rapide, alimentation industrielle chargée de nouvelles molécules (conservateurs, colorants, arômes artificiels…), aliments à tendance inflammatoire (excès d’amidon et de gluten, excès de produits laitiers, de charcuteries…), produits exotiques (soja, kiwi, ananas, arachides) : sont autant d’aliments que nos organismes sont peu habitués à digérer. 

De nouvelles pratiques dès la naissance 

Accouchement par césarienne privant l’enfant de la flore de sa maman (transmise dans le cadre d’un accouchement par voie base) 
Absence d’allaitement qui favorise l’apport de protéines autres que celles de la mère 
Diversification plus précoce (parfois avec des petits pots industriels) excitant un système immunitaire immature 
Prise d’antibiotiques plus systématique avant l’âge de 3 ans 


Le stress 

Le stress chronique peut déclencher ou accentuer des symptômes allergiques. L’excès de cortisol généré perturbe le système immunitaire et le rend ainsi plus vulnérables aux allergènes. L’eczéma en est un exemple assez connu, mais cela peut également prendre la forme d’éternuements, de démangeaisons ou de crise d’asthme… 

III) Les approches naturelles pour venir à bout de ses allergies

Si le terrain allergique provient en grande partie de l’hérédité, un mode de vie sain peut venir influencer l’expression de certains gènes et venir améliorer ce terrain allergique. L’objectif de ces approches naturelles vise à : 


  • Générer le moins possible de contacts avec les allergènes,  
  • Diminuer les facteurs promoteurs (stress, pollutions…) 
  • Apporter le moins possible d’histamine (notamment au travers de l’alimentation) 
  • Favoriser la dégradation de cette histamine par l’enzyme DAO (diamine oxydase) pour en limiter l’accumulation dans le corps. 

 

 

a/ Cap sur l’hygiène de vie

Conseil 1 : Les conseils alimentaires pour mieux lutter contre l’allergie

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Conseil 2 : Rester en forme & apprendre à mieux gérer son stress : Toute approche visant à diminuer ou à mieux gérer les émotions, l’anxiété et le stress aura des effets favorables sur la santé intestinale et permettra également de mieux préserver les réserves nutritionnelles nécessaires au bon fonctionnement du système immunitaire.  

Méthodes à visée apaisantes qui peuvent aider à moduler les phénomènes allergiques :

Conseil 3 : Limiter l’exposition aux produit chimiques et de synthèse : Que ce soit pour vos produits d’entretien, d’hygiène ou cosmétiques, optez pour une composition la plus naturelle possible ( > 98% d’ingrédients naturels) et avec des listes d’ingrédient courtes pour limiter l’apport de molécules toxiques et irritantes pour les voies respiratoires et le système immunitaire. 


Conseil 4 : Renforcez vos réserves et votre système immunitaire : Certains éléments sont indispensables à la santé du système immunitaire. C’est le cas des vitamines C et D, du zinc et des oméga 3. D’autres éléments quant à eux vont être des cofacteurs enzymatiques indispensables au bon fonctionnement de la DAO, cette enzyme qui dégrade l’histamine : vitamines B, cuivre et vitamines C. Si l’alimentation ne permet pas de les apporter en quantité suffisante, il peut être opportun d’envisager une supplémentation avec des compléments alimentaires d’origine naturelle soigneusement sélectionnés. 

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b/Les plantes pour gagner en confort et diminuer la réaction allergique :

Que ce soit pour leurs propriétés antihistaminiques, antioxydantes, anti-inflammatoires ou immunomodulatrices, la nature regorge de plantes qui peuvent vous apporter du confort pendant les phénomènes allergiques. 

Ces plantes peuvent être consommées sous forme d’infusion, de décoction, d’extrait de plantes standardisés ou de comprimés pour une teneur garantie. Certaines comme la Périlla ou la nigelle peuvent être utilisées sous forme d’huile. N’hésitez pas à prendre conseil auprès d’un professionnel compétent pour cibler la plante et le dosage qui vous correspondront. 

c/ Cure ciblée pour un travail de fond sur le terrain allergique

Si vous êtes décidés à ne plus subir l’arrivée du printemps, voici une cure complète d’accompagnement pour la saison, intervenant sur les différents facteurs de la réaction allergique permettant de minimiser celle-ci et de rééquilibrer votre immunité : 

Soutenir le foie

Favoriser l’élimination des toxines en drainant le foie tout en soutenant ses cellules constitue l’un des premiers réflexes à adopter en vue d’une prise en charge d’un terrain allergique.  

Le complexe hépatoprotect de Terravita propose une synergie de 4 actifs (le glutathion, la N-acétylcystéine, la bétaïne et la chlorelle) qui vont mener une triple action : renforcement des capacités hépatiques , détoxification, et élimination des toxines.  


Le + de la formule : la présence de chlorelle qui va faciliter l’évacuation des métaux lourds également. 


Renforcer la barrière intestinale 

Garantir l’intégrité de la muqueuse et l’équilibre de la flore intestinale est une étape clé dans la prise en charge des allergies, car elles vont d’une part agir en synergie pour limiter la quantité d’histamine absorbée par voie orale et d’autre part, maintenir un bon fonctionnement immunitaire. 

1 cure s’appuyant sur 2 formules Terravita va y contribuer et jouer un rôle synergique : 

  • Omega 3 breveté EPAX®, certifiés Friends of the sea et avec un ratio en EPA et DHA optimal va venir protéger la muqueuse intestinale des phénomènes inflammatoires. 
  • Perméaflore Probiotiques et Glutamine associe 3 souches de probiotiques hautement dosés et biodisponibles (20 mds d’UFC) qui vont rééquilibrer le microbiote et de la glutamine qui favorise la réparation de la muqueuse intestinale. 

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complexe quercetine terravita

Adopter un complexe anti-allergique

La quercétine est un flavonoïde présent dans de nombreux aliments d'origine végétale, tels que les fruits, les légumes et les herbes et reconnu pour son soutien du système immunitaire et dans l’amélioration des symptômes allergiques. 


Terravita a sélectionné la quercétine extraite de l’arbre Sophora Japonica et l’a associé à la bromélaïne issue d’ananas et vitamine C pour créer une synergie permettant de lutter efficacement contre les sensibilités ORL, les allergies et la fatigue. 

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d/ Autres conseils pour mieux vivre au quotidien

Au-delà des mesure d ‘hygiène de vie et de la complémentation, certains gestes et réflexes peuvent également vous apporter un peu de confort et limiter votre exposition aux allergènes : 

Conclusion :

Etre allergique n’est plus une fatalité ! Mais vous l’aurez compris, tout est lié ! 

Soutenir sa santé hépatique et intestinale, être vigilant sur son alimentation et l’impact de son environnement, renforcer son système immunitaire sont les éléments clés dans la lutte contre un terrain allergique. Ces mesures d’hygiène de vie, associées aux vertus de plantes et de certaines molécules naturelles pourront sans nul doute vous apporter le confort attendu et vous réconcilier ainsi avec l’arrivée du printemps ! 

La sélection Terravita

Bibliographie

  • Sources :

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    • Jafarinia M, Sadat Hosseini M, Kasiri N, Fazel N, Fathi F, Ganjalikhani Hakemi M, Eskandari N. Quercetin with the potential effect on allergic diseases. Allergy Asthma Clin Immunol. 2020 May 14;16:36.  
    • Williams EJ, Berthon BS, Stoodley I, Williams LM, Wood LG. Nutrition in Asthma. Semin Respir Crit Care Med. 2022 Oct;43(5):646-661. 
    • Miyata J, Arita M. Role of omega-3 fatty acids and their metabolites in asthma and allergic diseases. Allergol Int. 2015 Jan;64(1):27-34.